« Il y a des tournures justes, recherchée, une écriture fluide qui se chanterait presque, avec allitérations, références plus ou moins discrètes et figures de style élégantes. De même Remedium prend plaisir à faire de la bande dessinée, à étudier ses cadres, ses planches, ses mises en scène : un épisode comme « Déments sur canapé » ou le cadrage est fixe tout au long d’une soirée rappelle quelques fameuses chroniques new-yorkaises de Will Eisner. Quant au noir et blanc qui n’accepte pas la nuance, il apporte à la fois une solide posture à ces scènes comme une brutalité terrible. Une belle réussite. »
Un grand merci à Alexis Laballery pour son bel articles sur Les Contes noirs du chien de la casse ! C’est à lire sur le site Parutions à cette adresse.