« L’ambiance, à la fois dans la narration et un graphisme en noir et blanc un peu épais, fait songer, par son approche abrupte et réaliste à la Haine, le film emblématique de Matthieu Kassovitz. Et il vient rappeler que, plus de vingt ans après, rien n’a vraiment changé. Sinon en pire. »
Grand merci à Daniel Muraz, du Courrier picard, pour son article sur Les Contes noirs du chien de la casse, à retrouver par ici !