L’inconvénient d’être fan de rap, c’est que l’on doit apprendre à faire le deuil très vite d’artistes fondamentaux. Il y a dix ans jour pour jour, le 15 mars 2011, Nate Dogg rendait l’âme suite à une succession d’AVC. Il était le roi du G-Funk, le spécialiste des refrains, capable de transformer un morceau passable en hit absolu, mais il était surtout l’auteur de morceaux personnels inoubliables. Nate fait partie des artistes que j’ai le plus écoutés dans ma vie, à l’image d’aujourd’hui, où ma platine résonne des sons qui m’ont accompagnés dans ma jeunesse. Grosse pensée pour Nate Dogg, au-travers d’un petit hommage rapidement réalisé.